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vendredi 22 février 2013
Il faut sauver la chapelle des Templiers !
Il faut sauver la chapelle des Templiers !
Publié le lundi 18 février 2013 à 11H00 - Vu
219 fois
LAON (Aisne). Il faut 420.000 euros pour sauver de la ruine la Chapelle des Templiers. Les élus se lancent dans une quête aux subventions et les Amis de Laon lancent une souscription. Les défenseurs du patrimoine vont pouvoir croire aux miracles. Le conseil municipal a en effet approuvé le programme des travaux pour une restauration complète de la chapelle des Templiers. Les élus ont voté une délibération sollicitant les subventions nécessaires pour mener à bien cette opération tant attendue.
Fissures et lézardes
La chapelle est le dernier vestige de la présence templière à Laon. Les travaux les plus récents remontent à 1974. Il s'agissait de consolidations de maçonnerie et quelques actes de finition. Depuis, plus rien.
L'état actuel de la chapelle est très inquiétant. Des relevés, effectués en 1990, montrent que certains murs présentent un dévers important. Des fissures et lézardes sont visibles dans les maçonneries. Il y a un décollement important des matériaux de remplissage et des fissurations généralisées au niveau des joints qui lient les pierres.
On observe une forte humidité au plafond. La structure aurait tendance à s'affaisser. Il y a aussi un désordre dans la structure même du bâtiment comme l'a montré une modélisation de l'édifice. Quant à l'intérieur du bâtiment, il est dans un état encore pire que l'extérieur.
Réserve parlementaire
Pas de quoi interdire l'accès au public mais il y a quand même urgence car ce monument est l'un des plus visités de la ville. Une restauration complète est donc indispensable, la toiture, les murs, et un chaînage pour empêcher les pierres de s'écarter.
D'où l'insistance des Amis de Laon et du Laonnois qui n'ont jamais perdu la foi. L'association a pris le sujet à bras-le-corps et monté un dossier sur la restructuration de la chapelle en faisant réaliser des études.
Cette persévérance a incité le député René Dosière à utiliser sa réserve parlementaire pour donner un coup de pouce au projet. La Ville peut aussi compter sur un concours de 50 000 euros du ministère de l'intérieur au titre des aides exceptionnelles aux collectivités territoriales, à hauteur de 50 000 euros. La participation de l'Etat serait de 168 000 euros et celle du Département, 84.000 euros.
La municipalité s'engage à prendre en charge les autres dépenses en fonds propres et sur une participation de la Fondation du patrimoine en liaison avec la société des Amis de Laon.
Marie-Christine LARDENOIS - mclardenois@journal-lunion.fr.
http://boutic.annik.1tpe.fr
"première croisade", ce n'était en fait que l'aboutissement d'une longue série d'appels
Premiers pèlerins en Terre Sainte
Lorsque le pape Urbain II, en 1095, a déclenché la
"première croisade", ce n'était en fait que l'aboutissement
d'une longue série d'appels et de nouvelles menaçantes
venues de Terre Sainte si chère au coeur des chrétiens.
Jérusalem, où le Christ est mort et ressuscité, n’avait
cessé depuis la Christianisation de l’Empire romain d’attirer
les pèlerins. Dès le IVe siècle, des récits, comme celui d'Egérie,
attestent des étages usuelles du pèlerinage: l'emplacement
du Golgotha, l'Anastasis, la rotonde que l'empereur byzantin
Constantin et sainte Hélène, sa mère, ont fait bâtir au-dessus
du tombeau dont le Christ est ressorti vainqueur.
A la même époque (392), saint Jérôme - le rédacteur de la
Vulgate, traduction latine de la Bible - a fondé deux monastères,
l'un pour les hommes l'autre pour les femmes, à Bethléem, car
déjà l'affluence des pèlerins était telle à Jérusalem qu'ils ne
pouvaient y trouver le recueillement indispensable...
Premiers pèlerins en Terre Sainte
Lorsque le pape Urbain II, en 1095, a déclenché la
"première croisade", ce n'était en fait que l'aboutissement
d'une longue série d'appels et de nouvelles menaçantes
venues de Terre Sainte si chère au coeur des chrétiens.
Jérusalem, où le Christ est mort et ressuscité, n’avait
cessé depuis la Christianisation de l’Empire romain d’attirer
les pèlerins. Dès le IVe siècle, des récits, comme celui d'Egérie,
attestent des étages usuelles du pèlerinage: l'emplacement
du Golgotha, l'Anastasis, la rotonde que l'empereur byzantin
Constantin et sainte Hélène, sa mère, ont fait bâtir au-dessus
du tombeau dont le Christ est ressorti vainqueur.
A la même époque (392), saint Jérôme - le rédacteur de la
Vulgate, traduction latine de la Bible - a fondé deux monastères,
l'un pour les hommes l'autre pour les femmes, à Bethléem, car
déjà l'affluence des pèlerins était telle à Jérusalem qu'ils ne
pouvaient y trouver le recueillement indispensable...
Lorsque le pape Urbain II, en 1095, a déclenché la
"première croisade", ce n'était en fait que l'aboutissement
d'une longue série d'appels et de nouvelles menaçantes
venues de Terre Sainte si chère au coeur des chrétiens.
Jérusalem, où le Christ est mort et ressuscité, n’avait
cessé depuis la Christianisation de l’Empire romain d’attirer
les pèlerins. Dès le IVe siècle, des récits, comme celui d'Egérie,
attestent des étages usuelles du pèlerinage: l'emplacement
du Golgotha, l'Anastasis, la rotonde que l'empereur byzantin
Constantin et sainte Hélène, sa mère, ont fait bâtir au-dessus
du tombeau dont le Christ est ressorti vainqueur.
A la même époque (392), saint Jérôme - le rédacteur de la
Vulgate, traduction latine de la Bible - a fondé deux monastères,
l'un pour les hommes l'autre pour les femmes, à Bethléem, car
déjà l'affluence des pèlerins était telle à Jérusalem qu'ils ne
pouvaient y trouver le recueillement indispensable...
Templier Veritas Devenu religion d'état au 4e siècle, le Christianisme fixa son dogme puis s'efforça d'éliminer toutes les opinions différentes qualifiées d'hérésie. Rejetés par l'Église, les hérétiques (ou païens) étaient remis au pouvoir civil qui les exécutait obligatoirement en application de la loi. Le système fonctionna jusqu'à l'an Mil où naquirent de nouvelles contestations. Les bûchers réapparurent aussitôt, et douze chanoines d'Orléans furent brûlés vifs. L'Église imposait un implacable pouvoir mais les contestataires dénonçaient sa richesse et le mode de vie de ses dirigeants. Cette opposition gagna autant les paysans du Nord que la noblesse du Sud. Au 12e siècle, les opposants dits "cathares" adoptèrent les croyances des Bogomiles. En 1163, de nombreux Cathares furent brûlés à Cologne. Le pape Innocent III ne supporta pas que la noblesse occitane protégeât les cathares. Il fomenta une première expédition militaire contre le comté de Toulouse. Elle se livra à d'effroyables massacres dont le terrible sac de la ville de Béziers... Devenu religion d'état au 4e siècle, le Christianisme fixa son dogme puis s'efforça d'éliminer toutes les opinions différentes qualifiées d'hérésie. Rejetés par l'Église, les hérétiques (ou païens) étaient remis au pouvoir civil qui les exécutait obligatoirement en application de la loi. Le système fonctionna jusqu'à l'an Mil où naquirent de nouvelles contestations. Les bûchers réapparurent aussitôt, et douze chanoines d'Orléans furent brûlés vifs. L'Église imposait un implacable pouvoir mais les contestataires dénonçaient sa richesse et le mode de vie de ses dirigeants. Cette opposition gagna autant les paysans du Nord que la noblesse du Sud. Au 12e siècle, les opposants dits "cathares" adoptèrent les croyances des Bogomiles. En 1163, de nombreux Cathares furent brûlés à Cologne. Le pape Innocent III ne supporta pas que la noblesse occitane protégeât les cathares. Il fomenta une première expédition militaire contre le comté de Toulouse. Elle se livra à d'effroyables massacres dont le terrible sac de la ville de Béziers...
Devenu
religion d'état au 4e siècle, le Christianisme fixa son dogme puis
s'efforça d'éliminer toutes les opinions différentes qualifiées
d'hérésie. Rejetés par l'Église, les hérétiques (ou païens) étaient
remis au pouvoir civil qui les exécutait obligatoirement en application
de la loi. Le système fonctionna jusqu'à l'an Mil où naquirent de
nouvelles contestations. Les bûchers réapparurent aussitôt, et douze
chanoines d'Orléans furent brûlés vifs. L'Église imposait un implacable
pouvoir mais les contestataires dénonçaient sa richesse et le mode de
vie de ses dirigeants. Cette opposition gagna autant les paysans du Nord
que la noblesse du Sud. Au 12e siècle, les opposants dits "cathares"
adoptèrent les croyances des Bogomiles. En 1163, de nombreux Cathares
furent brûlés à Cologne. Le pape Innocent III ne supporta pas que la
noblesse occitane protégeât les cathares. Il fomenta une première
expédition militaire contre le comté de Toulouse. Elle se livra à
d'effroyables massacres dont le terrible sac de la ville de Béziers...
Le Pater Noster des Cathares
Le Pater Noster des Cathares demandait au Père Divin,
non pas le pain quotidien mais le simple don
de nourritures spirituelles et surnaturelles.
" Paire nôstre que sés dins lo cél,
que ton om se santifique,
que ton renhe nos avenga,
que ta volonta se faga
sus la térra coma dins lo cel.
Dona-nos uéi nôstre pan supra subtancial,
perdona-nos nôstres deutes
coma nosautres perdonam a nôstres debitors,
e fai que tombem pas dins la temptacion,
mas deliura-nos del mal "...
Le Pater Noster des Cathares demandait au Père Divin,
non pas le pain quotidien mais le simple don
de nourritures spirituelles et surnaturelles.
" Paire nôstre que sés dins lo cél,
que ton om se santifique,
que ton renhe nos avenga,
que ta volonta se faga
sus la térra coma dins lo cel.
Dona-nos uéi nôstre pan supra subtancial,
perdona-nos nôstres deutes
coma nosautres perdonam a nôstres debitors,
e fai que tombem pas dins la temptacion,
mas deliura-nos del mal "...
non pas le pain quotidien mais le simple don
de nourritures spirituelles et surnaturelles.
" Paire nôstre que sés dins lo cél,
que ton om se santifique,
que ton renhe nos avenga,
que ta volonta se faga
sus la térra coma dins lo cel.
Dona-nos uéi nôstre pan supra subtancial,
perdona-nos nôstres deutes
coma nosautres perdonam a nôstres debitors,
e fai que tombem pas dins la temptacion,
mas deliura-nos del mal "...
Monnaie de Jacques Ier 1276
Monnaie
de Jacques Ier 1276. Jacques Ier d'Aragon dit le Conquérant est né le 2
février 1208 à Montpellier, et mort le 27 juillet 1276. Il fut roi
d'Aragon, comte de Barcelone et seigneur de Montpellier à partir de
1213. En 1229, il devient aussi roi de Majorque, puis roi de Valence à
partir de 1232. Fils de Pierre II le Catholique, roi d'Aragon et Marie,
dame de Montpellier Il eut une enfance très difficile.. Durant sa
minorité, il est confié aux templiers. Il sera élevé au château de
Monzón . Les Templiers l'a instruit. Il est connu comme le Roi Templier
par son lien avec les Chevaliers Templiers. (Ma collection)
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