jeudi 14 mars 2013

« Risque-t-on de trahir ses secrets quand on n’en livre que partiellement le mode d’emploi ? Est ce qu’on en sera pour autant mieux compris ? » (Variation personnelle)

Des clés et des serrures numériques dans la Vraie Langue Celtique de l'abbé H. Boudet ?


CHRONIQUE D'ETUDE ET D'HUMEUR N° 2

       « On ne risque rien à livrer ses secrets professionnels tant qu’on n’en donne pas le mode d’emploi » (Jean Cocteau)

« Risque-t-on de trahir ses secrets quand on n’en livre que partiellement le mode d’emploi ? Est ce qu’on en sera pour autant mieux compris ? » (Variation personnelle)

Accepteriez-vous que nous plongions ensemble au cœur du Boudet afin d’entendre quelque écho de ce qui pourrait être une partielle évocation de ses chers (et convoités) modes d’emploi ?

Sans doute ? Alors j’ai choisi de vous entretenir du phénomène dit papillon dont on parle quelque fois en science météorologique, mais qui pourrait se rapporter aisément à l’Histoire, à la politique, au scénario de nos vies, aux catastrophes socialo- financières ou bien, pourquoi pas à la recherche pure, un effet progressif qui va en s’amplifiant, développé non pas par le hasard, ni même nourri sur lui-même en s’auto phagocytant… Effet boule de neige sans neige, ni flocons papillons. Un micro évènement passant le plus généralement inaperçu parce que semblant profondément dérisoire, mais qui va induire un mouvement irrépressible se terminant par la révélation d’un système insoupçonné, ou l’accomplissement d’un phénomène bouleversant, voire révolutionnaire.
 
Il en est de même avec le complexe montage du Boudet, révélant ses quelques microsystèmes fonctionnant en parallèles qui sembleront tout d’abord ne pas communiquer, et puis soudain l’on s’aperçoit qu’ils cohabitent, puis vont chevaucher la trame, à ne plus fonctionner qu’en parfaite osmose et enfin venir fleurir la surface, telle la transcendante  genèse d’une haute lisse d’Aubusson !
Ainsi font les effets de la formule boudétienne susdite et déduite d’une page particulière, la 297, que nous analyserons dans quelques temps, avec un certain fonctionnement arithmétique du volume Boudet, considéré en son intégrité numérique.

Mais avant d’en revenir à cette curiosité sur laquelle je travaille (aux surprenants effets !), permettez-moi chers lecteurs, de vous inviter à m’accompagner et que nous flânions ensemble, car nous allons nous insinuer en un lieu caché parmi les dédales boudétiens à la rencontre d’évènement qui sembleront à certains d’entre vous, minimes, certes, mais cela seulement si nous les abandonnons en leur isolement.
Je vous guiderai symboliquement jusqu’en une pièce du labyrinthe du Boudet, rassemblant à celui de Mesraïm, le roi d’Egypte, et que décrit notre abbé pages 83 et 84 du livre au chapitre III  titré « LANGUE PUNIQUE » (Sans l’habituel article LA) et nous invitant selon Boudet aux jeux des mots.
Nous ne nous y arrêterons, comme le précise l’auteur, qu’à peine un instant.
Nous apprenons que ce labyrinthe fut l’œuvre de 12 rois, qu’il était fait de 12 palais, contenait 1500 appartements mêlés de terrasses, et disposait de 12 salles principales. Voilà pour la partie supérieure de l’ensemble, celle baignée de soleil, et puis se cache la partie inférieure composée d’également 1500 appartements. Qui logeait donc sous terre, les esclaves avec les dieux ?
Le lecteur attentif remarquera que ces nombres font référence au symbolisme classique, et de penser que Boudet n’aurait pu occulter quoi que ce soit d’important concernant une information précise (occulter = angler : en vieux français signifie dissimuler… « to angle pêcher à la ligne ». Etrange traduction proposée : « Tout dissimulé pêcher à la ligne ! »… à la  ligne de texte, bien entendu), en seulement recopiant fidèlement Hérodote ? Mais ce qui échappe à Hérodote (comme en général au lecteur moyen), c’est que Boudet maitrisant son vaisseau nous promène sans cesse d’une plage (page) àl’autre, à sa guise, en un ordre par lui calculé, et seulement pour la bonne gouverne du méritant capitaine décodeur.
En ce cas, par exemple, l’abbé va employer 3 fois le 12 = 36 et 2 fois le 1500 (= 3000). 
Total = 3036, et puisque le 12 est majoritaire… aux points, d’autant que 3 + 0 + 3 + 6 nous donne de nouveau le 12, n’hésitons pas à faire l’opération suggérée par l’opportuniste abbé (et par moi-même qui le suis tout autant ), tranchons :
3036 / 12 = 253

VLC 153La page (153 + 100) = 253 est celle du sang de Jésus répandu sur la croix et baignant l’univers, et naturellement, aussi celle du sang Graal comme nous allons le constater deux fois, Graal qui est également codé page 253 moins 100(sang) = 153 comme de juste. (Voir fac-similé de la page 153)
                                        
La page 253 (comme avec tant d’autres), est travaillée au compas et à l’équerre (Vous avez bien lu !). Une composition géométrique insoupçonnable pour un non-initié ? Ah, ah ?

Cent (sang) cinquante trois + sang égalent deux sang cinquante trois, et nous allons voir que cette digression d’ordre phonétique avec le nombre 153 des 153 gros poissons de la pêche miraculeuse inventée par Jean l’Evangéliste, verset n° 21, et que le 21 deviendra précisément pour cela (et d’autant mieux que le 21 est aussi la valeur alpha du mot Graal), le symbole numérique et incontournable du Graal, le sang du Graal de Jésus, naturellement traité symboliquement par Boudet… à moins que … ?… mais ne rêvons pas trop ! Que veut dire Boudet par le Graal ? Nous ne l’avons pas défini. Quelle est la route dite du graal pour Boudet en son incroyable livre, et où conduit-elle exactement ? Car Boudet nous code plusieurs dizaines de fois le mot Graal et nous suggère des cartes en son texte et des textes en sa carte…, je n’extrapole même pas ! ICI

Ce 153 est  la (plus que célèbre) triangulaire (valeur secrète) du 17 qui est une des clefs phares du système, et c’est toujours Boudet qui nous le code.  Nous en reparlerons … (tiens, 17 lettres)
Il ne sera pas surprenant non plus pour les anciens spéléologues des labyrinthes de la Vraie Langue Celtique qui se sont courageusement investis dans ce que je nomme « le Boudet » (tel que les valeureux André Goudonnet, ou Thierry Espalion, lequel, ce dernier, sauf erreur de ma part, s’intéresse particulièrement au triangle de Pythagore, le 3 4 5, le plus souvent représenté, et qui à la fin des fins se révèlera peut-être aussi le plus révélateur des triangles réguliers sur la route du Graal selon Boudet ?), que le mot sang répété 4 fois dans la page, détermine une géométrie d’or exemplaire réalisée avec une exactitude d’architecte, et ce ne sera pas cette fois-ci un hommage à Pythagore avec son triangle (tout autant sacré) 3  4 et 5.

En d’autres endroits privilégiés du livre, donc, des dizaines de géométries très différentes nous saisissent, voire mieux, mais une fois seulement, c’est une véritable carte à l’échelle constante, calquée sur deux pages adjacentes à vous couper le souffle et vous provoquer de sévères montées d’adrénaline (ou de glycémie) lorsque vous constatez sa précision et sa structure géniale, très hautes qualités aisément vérifiables point à point !

Un véritable (et indiscutable) trésor ! Et cela, nul, je pense, n’est encore suffisamment avancé en ce domaine pour me doubler… (Ceci dit sans présomption spéciale). Il se pourrait cependant qu’un alter ego aussi cachottier que moi ait connu la même aventure de recherches ! Qu’il (ou elle) me le signale discrètement de préférence.

Nous sommes loin des « à peu près » et des distorsions projetées par monsieur H. L. dans les années 90, regrettablement manipulé à l’époque par un triste sir, le professeur Conford, aveuglé qu’il était au sujet des Bergers d’Arcadie, ce qui eut pour conséquence d’empoisonner la recherche géométrique nettement plus rigoureuse pendant deux décennies, en sacralisant, fétide cerise sur le gâteau, un soi-disant pentagone naturel sur le terrain, totalement hors sujet et géométriquement faux, pointant de 5 flous artistiques, en l’occurrence ses 5 sommets reposant sur 5 vagues et imprécis sommets de collines, nommés sans rire les points du pentagone régulier, ou en tirant des plans sur la comète pipée (et à double queue) de vrais faux manuscrits, tellement grossièrement exécutés qu’un enfant de cœur déniaisé les auraient déniés !
Lamentable gâchis ! Ne manque au tableau que les triangulations des Bergers d’Arcadie, idem totalement en dehors du sujet (nous le prouverons), et qui plus est, toutes profondément inexactes.
Il est pour le moins ahurissant de constater que toute une génération d’opportunistes rusés (et intelligents), décorés d’un long cortège de suiveurs suivant (aller et retour les caravanes du succès), ont su se construire une légende dorée de leur vivant, prospérer en l’édition et sur les médias, sans n’avoir au grand  jamais rien découvert d’exact ni de tangible ! Leurs dossiers sont à peu près vides de vérités ou de véritables trouvailles, à part quelques rares exceptions notables confirmant la règle. Ce que j’avance là se prouve méthodiquement. Mais pour toutes réponses, on persiste et signe en rééditant les ouvrages en question, sans aucunes restrictions ni mise en garde préalable, ni remord exprimé, ni corrections d’usage, encore moins d’état d’âme de la part des auteurs survivants... L’argent moins que nulle part n’exhale de parfums, là-haut sur la colline.
Quand vous parlez avec eux, ils se défendent mal en prétendant avoir travaillé toute leur vie sur des hypothèses… Et bien alors ?… concluent-ils en final … de l’air de dire « Pas ma faute si elles étaient fausses, mes hypothèses ! ».  Hypothèse !? Ah, le pudique mot qui doit les absoudre, les blanchir à jamais, les anges !
En attendant, ils vous prient d’avoir l’amabilité de fermer encore les yeux et la bouche devant leurs « hypothèses » vingt-cinq ans après les bêtises commises et officialisées et aujourd’hui reconnues obsolètes par les chercheurs conscients, sinon vous passez pour un vulgaire emmerdeur doublé d’un fieffé psychopathe (sic)… voilà ce qui m’a été répondu par l’un d’eux trônant céans en son fief ! Hé bien ? Vulgaire ? Parfois… ouais, quand je veux l’être… Emmerdeur ? Certainement… ah, oui ! Mais psychopathe ? Je peux bien à la rigueur le jouer, puisque j’ai été comédien, mais uniquement pour faire sourire les amis et par goût de l’autodérision…

Sautons donc à la page 253.
                            
Voici pour commencer le premier triangle rectangle d’or, un grand classique du genre qui est un TGO, un triangle géométrique d’or

La base = 1   La hauteur = 1 x Racine de Phi     Et l’hypoténuse = 1 x Phi  = total (la clef) 3,89, le périmètre réduit en base 1.

TGO dit du sang de la rédemption, lavant le péché originel de l’homme coupable, quatre fois le mot sang avec les mots coupable et expiation les balisant.

Acceptez que je ne vous montre que mes piteux petits brouillons, ce n’est pas clean ni pro, comme disent les vieux jeunes en patoisant un jargon proanglais (mais toutefois postshakespearien !), mais c’est authentiquement spontané.
Pour ce genre de recherches, rien ne remplace le tâtonnement intuitif, l’œil, l’expérience, le rapporteur, le compas et l’équerre, le crayon, la gomme, la rame de papier et un ou deux bons litres de thé ou de café pour astiquer les neurones… exactement comme je pense que les codeurs ont pratiqué à l’époque Boudet, mêmes tâtonnements, même méthode appliquée au ¼ de mm ou de degré, avec tous les droits à l’erreur disponibles, stressant aux attaques de multiples et fiévreuses hésitations et dont ils ne retinrent que les salvatrices corrections en surveillant et recorrigeant impitoyablement les épreuves d’imprimerie… pauvres typos, ils étaient encore taillables et corvéables à volonté, le bon temps pour les codeurs artisanaux, lesquels aussi en leur partie en ont certainement bavé plus que de simples moniaux enlumineurs de peaux de boucs !
Pensez qu’on composait artisanalement tout un livre au 19e siècle, pas d’ordinateur…, songez qu’il fallut en sus nous le coder en finesse, construisant, déconstruisant, reconstruisant jusqu’à ce que cela fonctionne ! Et on aura plus tard pris soin de faire disparaitre toutes archives, tous brouillons, autant chez les auteurs que chez l’imprimeur éditeur ! Ni vu ni connu !

Défaire l’œuvre à l’envers pour mieux débusquer l’endroit des concepteurs ? Voilà notre boulot dans le Boudet.
Plongeons …

Vraie langue celtique 253Voici un des nombreux triangles géométriques d’or (TGO) de la page 253.

ABC est le triangle symbole de l’homme coupable du pêché originel lavé par le sang de Jésus en croix. Comme vous le constatez, il est balisé par quatre fois le mot sang, enfourche le mot coupable et pénètre sur pénétré(de ces vérités).

Le G de sang amorce le « tape » de Graal, à droite, ligne 17 à droite et va rejoindre le l de l’humanité, ligne 27 à gauche.
« Tape » traduction : la marge… des lignes anglées. Boudet lui-même a codé plusieurs fois ce terme anglo-saxon. On parle en français d’acrostiches, un des plus courants et élémentaires modes de cryptage… rien donc de difficile à relever, sauf que personne ne pense sérieusement à le prendre au sérieux malgré l’injonction trois fois assénée par Boudet : « To angle, pêcher à la ligne ».  Dût-il le répéter mille fois (comme moi) pour que vous l’entendiez ? Bof… on ne l’aurait pas mieux écouté pour cela…
Passons. Remarquez que le mot hommes (pluriel) frôle le centre du cercle inscrit.

AC = 50 mm et 50 est le nombre symbole du LION (et sa valeur Alpha).
BC = 50 mm x 1,272 (racine de Phi) = 63,6 mm
AB = 50 mm x 1,618 (Nombre d’or) = 80,9 mm.
Total = 194,5 (Lequel x 10 = 1945).

Qu’est ce que 1945 ?
Pour les très anciens, c’est la date de la Libération.
Mais pour les géomètres d’or, c’est un nombre d’une valeur exceptionnelle et, pour les codages de Boudet, un nombre seulement utile.

C’est que le 1945 contient le tout premier vrai TGO mathématiquement acceptable dans un club très fermé, celui des  trois côtés exprimables en nombres entiers, quand on se sert de la valeur coutumière de Phi (soit 1,618 avec 1,272 sa racine carrée)
C'est-à-dire le TGO : 500   636   809.
En effet 1945/3,89 (la clef du TGO) = 500, puis 500 x racine Phi
(1,272) = 636 et 500 x Phi (1,618) = 809. Aucune décimale !

Ce nombre, Dom Neroman, le mathématicien et ésotériste du nombre d’or, le code subtilement en son livre constamment réédité : « Le nombre d’or clé du monde vivant ». 
Il n’avait sans doute pas osé l’impliquer directement dans sa théorie des TGO et pyramides d’or aux nombres (dits) entiers.
Bref, s’il ne nous l’a pas révélé en clair, c’est qu’il aura préféré le proposer à la discrétion des décodeurs… et que cela ne serve qu’à décoder Boudet ?… Il faudra bien que nous en parlions… À moins que l’acte de décoder Boudet ne soit pas toléré par tout le monde, ni de trahir comme j’ai commencé à le faire, certains de ses petits secrets ?
Boudet (et ses amis ?) quant à eux (et voir l’étude des deux pages 154 et 155 sous le pseudo de Léo Bourbon) en ont fait leur « Cheval de Dieu », (Tiens, tiens ? Mots aux familières résonances) du TGO aux trois valeurs entières !

En effet, ils assimilent le TGO globalement à un cheval… image classieuse et emblème vivant du guerrier celte ivre de liberté, chevauchant vers le couchant.  
Petit détail toutefois illustrant la mise systématiquement en osmose de la numérotation des pages Boudet  avec ses nombres clefs ?
Ouvrez votre Boudet à la page 194. Vous avez compris qu’il ne manque que le 5 pour faire 1945. Alors, à ligne n° 5, que lisez-vous ? Vous lisez en introduction le mot « chevaux » suivi de… étant aux yeux de Gaulois (les Celtes) des bêtes trop précieuses… etc. Voilà, voilà, voilà… Capito ? Le livre est bourré de ce genre de signes confirmant la les valeur(s) des nombres sacrés et utiles.
Autre détail (ils sont légion) 306/194,5 = 1,62 qui est presque le nombre d’or étant donné que la tolérance pratique (le comma de Phi),  va de 1,598 à 1,638. Nous étudierons les prochaines fois d’autres fonctions du nombre 306 avec de nouveaux chiffres et nombres clefs.

Mais aussi…  il compare le TGO à un cheval châtré lorsqu’il possède trois côtés exprimés en nombres décimaux, (trois… l’image du chevalet de peintre, à trois pattes, forment un triangle, pensez aussi au chevalet en architecture qui est aussi un triangle, et surtout à la trinité universelle obsédant Boudet ?)
soit encore à un cheval à demi châtré lorsqu’il a un côté entier ou deux entiers. (Seul Boudet pouvait inventer une telle farce : un cheval à demi châtré… et sachons qu’une farce se dit a rig en anglais, précisément le nom d’un de ses petits chevaux soi-disant à demi châtrés !)
… ou soit enfin à un cheval entier (plus joliment et poétiquement nommé Cheval de Dieu) quand le TGO en question a ses trois valeurs exprimables en nombres entiers. Des absolus.

Boudet 154 155 vlc
                     
Il nous code cela dans les pages passionnantes 154 et 155 qui matérialisent le milieu réel du livre objet, permettant de travailler sur les deux faces de pages sans les soucis habituels dus à la dénivellation des adjacentes ! (Pratique et pragmatique, avec ça, l’abbé !). Il nous dessine  le triangle de Cheops, le fin du fin, coupe des apothèmes de la grande pyramide logeant entre les trois points de repère des petits chevaux douteux qui sont Rig Kob et Nag… mais vous n’avez qu’à lire l’étude, je ne vais pas vous la recopier, c’est bien trop long !

Pour en revenir encore une seconde à Dom Neroman, il nous livre discrètement en son paragraphe : f) Les nombres entiers dans la Pyramide, le TGO de deux pyramides d’or remarquables : 11  14  18 et l’autre 55  70  89 (mesures très légèrement arrondies, 55 et 89 étant au rang 10 et 11 de la Série d’or de Fibonacci et 70 étant l’intermédiaire entier par la racine carrée de phi).
Ces deux triangles existent réellement dans les constructions dites de Saunière.
Mais il a dû « oublier ? » le TGO de la tour Magdala, dont je vous parlerai un jour en détail. Pourquoi, « oublier » ? A-t-il voulu que nous découvrions par nous-mêmes, encore une fois, le secret géométrique de Magdala ?

Ce dernier triangle TGO  mesure 555  706   898 (en cm, mesures légèrement arrondies à part le sacro saint 555 de départ, sans décimale). Hé bien, vous allez comprendre la feinte. Voilà ce qui se passe, une simple soustraction entre le triangle Magdala et celui de D. Neroman :

(55555) + (70670) + (89889)500    636    809  le TGO du nombre contenu en 1945 (500 + 636 + 809 = 1945) qui est le premier vrai « Cheval de Dieu » un absolu naturel en nombres entiers. OK ? Commencez-vous à saisir le système ?

(A ce dernier sujet, voir la page 119 de Le Nombre d’Or de D.N. en réédition de septembre 1995, § 2. Le nombre d’or dans l’espace.
f) Les nombres entiers dans la pyramide)  

Conclusion provisoire : le TGO de Boudet (x 10) de la page 253, vaut donc son pesant d’or géométrique, mais ce n’est pas tout, il y a, et fonctionnant de conserve, le cercle inscrit !

Le diamètre du cercle inscrit dans le TGO ABC obéit à la valeur suivante :
Le périmètre du TGO 194,5 mm(divisé par la constante suivante, fort pratique et qui est de surcroit un de mes raccourcis calculés maison) : 101/17 = 5,9411 = 32,7380451431 mm, lequel x Pi = 102,85 mm le périmètre du cercle. Ah, ah ?

Alors, que représente à son tour, le nombre abstrait 102,85 ?
Aucun mystère pour ceux qui m’ont lu. C’est, exprimé en dm², la surface exacte des Bergers d’Arcadie de Nicolas Poussin, excusez du peu ! Cela fait  12,1 x 8,5 = 102,85 dm², soit 1,21 x 0 85 = 1,0285 m².
Les références aux géométries fondamentales des Bergers sont permanentes chez Boudet, donc me laissent dubitatif, ceux qui pensent connaître les Bergers (alors qu’ils en sont tous, je pense, encore très loin) tout en dédaignant LVLC… aucune chance d’en saisir les clefs à si bon compte, c’est évident (c’est dit) !

Si le premier nombre révélé valait de l’or, ce dernier vaut sans doute une poignée de diamants bleus pyramidaux !

Ce nombre géométriquement puissant, 1,0285, immortalisé par (et pour) la géométrie de Poussin est rémanent dans le Boudet, item dans Edgar A. Poe (voir mon étude sur The Gold Bug, sa célèbre nouvelle), dans les romans et nouvelles de Maurice Leblanc (avec Arsène Lupin !), et j’en passe.

Maintenant, considérons dans la foulée le triangle rectangle d’or BCD aux mesures de 63,6    102,9048    120,9738206 (Périmètre = 287,4786206), qui trouve exactement sa place en la page et sur la base de la grande cathète de ABC = 63,6.
               
vlc Boudet 153Je rappellerai donc la formule du périmètre du triangle rectangle d’or permettant de calculer vite et bien la triangulation géométrique d’or à partir de n’importe quel nombre (et d’une calculette !), ou bien de seulement parachever la connaissance de ses valeurs non précisées à partir d’une seule connue, soit de la base, de la hauteur, ou bien de l’hypoténuse… cool… Le calcul de l’hypoténuse est un peu compliqué, mais cela participe de  son charme… et il fallut bien que je la formule (je n’arrête pas de créer), car nulle part je ne lai trouvée. Inédite ! Autant sur le Net que dans les livres spécialisés… Ironie ! Figurez-vous, sauf par moi-même, quelque part en un chapitre VII (sous le pseudo de Léo Bourbon), mais retranscrite avec deux singulières coquilles la rendant inopérante, mais coquilles vides qui n’ont jamais inquiété qui que ce soit : Preuve que je ne suis pas lu par les (cependant si brillants et consciencieux à les entendre) mathématiciens ou géomètres maison, lesquels n’auraient pas manqué de me remonter les bretelles ! (Et de me réveiller, car je ne m’en étais jusque-là, pas même aperçu des coquilles… et voilà que moi non plus, je ne me (re)lis pas !… un comble, et pan sur le bec, le mien… pour une fois !)

Alors, voilà la formule, toutes corrections effectuées, avec le 1 symbolisant la base :

1 + (1 x Phi) + Racine de [1² + (1² x phi²)] = 4,52 = P  le périmètre réduit sur base = 1.

Vérification : 1 + (1 x 1,618) + racine de [1² + (1² x 2,618)] = 4,52

Et plus concrètement : 63,6 + (63,6 x 1,618) + racine de [63,6² + (63,6 x 2,618)] =
63,6 + 102,9048 + (racine de 14634,66528 soit 120,9738206) =
120,9738206. OK ? Fastoche.

Dernière vérification de la valeur de la base avec notre périmètre : 
287,4786206/4,52 = 63,6. All is write ! Tout baigne, messieurs et dames les mathématiciens, même pas la peine de vous déranger, car vous ne trouverez pas le lézard !

Certains ne manqueront pas de se demander (hum ?) comment je puis être certain des mesures que j’affirme ? Ben… du moment qu’elles sont toutes justement calculées à partir des bonnes formules et par rapport à un entier, ou bien une mesure constatée au ¼ de mm, mes instruments me le permettant clairement, facilement repérable par quiconque qui consent à scruter sérieusement, sur les éditions fac-similé de l’édition originale du Boudet…  Où est le problème ? No problem ! Car en ce cas présent tout démarre du 50 mm tout rond, qui est la valeur de la base du premier TGO de la série interdépendante, et cela sur tous les volumes fac-similé de l’original de LVLC que je possède ou leurs copies exécutées, toutes pages détachées, par une bonne imprimante.

Et c’est ainsi que parlaient Boudet et ses amis !

La fois prochaine vous seront présentés les autres (5) triangles d’or signifiants de cette page qui sont 7 en tout… chargée, la page 253 !
7 n’est pas un chiffre innocent, même pour Boudet.
Nous parlerons aussi du mot « tape », en français, la bande ou la marge, là où Boudet va planquer le poisson frétillant attrapé pour nous.
Nous reparlerons (enfin) de la page 297 avec l’amorce de la démonstration de cette formule algébrique annoncée dés le début ! Elle nous réservera bien des surprises.

Mais en guise de primes au lecteur, je vous offre un clin d’œil, l’exemple le plus évident de tape (donc le mieux caché, anglé, d’après le syndrome de la lettre cachée de Poe ?), en lequel Boudet nous confirme (peut-être) ses convictions monarchistes.

Clovis
Boudet signature pythagoricienne

Et puis, le tape beaucoup plus consistant de la page 116 que je commenterai peu aujourd’hui, à part cette sérieuse mise en garde : 116 est la signature pythagoricienne de Boudet ! Ce n’est pas rien, cela se démontre et, un jour, je vous le livrerai.
                 
Ici, 3 tapes qui sont les suivantes A  B  C… tiens, tiens, la formule algébrique : a + b = c (Abbé Boudet = Curé) qui pointerait le nez ?
Ensuite AB  H.  BOUDET (Est-ce clair ?) et enfin, à partir du c (vert) : COUDEE, la coudée royale, bien entendu, valeur 0,5236 m. Pourquoi la coudée ? Bonne question ! Et je conseille de lire à la suite ceci en enchaînant en bas de page :
AB H. B ou d et à la dérision, pendant que passe légèrement
                      et fièrement au milieu d’eux le triomphant « vain-
                      queur benzutzaïla »…
« vainqueur benzutzaïla » ?… très amusante, cette dernière  consonance … Pourquoi les deux mots ont-ils été accouplés entre guillemets ? La réponse n’aurait probablement rien de littéraire… ? Peut-être, par contre, qu’elle aurait quelque chose de « mathématique » ?
Mais nous savons que les maths sont de la poésie abstraite à l’état de cristaux complexes, telle la neige que nous projettent les anges du ciel,  et que les nombres, comme le pensait Pythagore, nous saisissent comme des concerts célestes… Tiens donc… ? Mis à part que j’ai parlé en introduction de l’effet  boule de neige, n’est-ce pas un concert céleste qu’est justement censé écouter un certain Saint Antoine, à N.D.D.M. ? Ben, si !… Le mystère partiellement anglé par la surface goudronnée ne serait (ou plutôt serait-il aussi ?) qu’un curieux nombre, ou plutôt une configuration géométrique… encore un secret jadis partagé entre l’abbé Boudet et ses compères ?
Saint Antoine Notre-Dame de marceille
Saint-Antoine à Notre-Dame de Marceille - © Netchacovitch Johan
(Oui, mais, je le pense et l’espère, pas perdu pour tout le monde !)
Merci à vous, ô précieux lecteurs.

6 mars 2013, Jean-Marie Villette (alias Léo Bourbon et Atanoicle) ©
Lire l'étude consacrée au livre de Boudet Chapitre 1 - Chapitre 2 - Chapitre 3 - Chapitre 4
Sources La Gazette de Rennes-le-Château.
 http://boutic.annik.1tpe.fr

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