samedi 29 septembre 2012

La gardienne de la 9e porte.

La presse en parle Paru dans le Petit Tram Juin-Juillet 2012 PORTRAIT D’AUTEUR : Annik Couppez Véronèse d’Orléac – « la gardienne de la 9e porte", paru chez Edilivre 2012 « La gardienne de la 9e porte » est un roman d’aventure historique dont l’intrigue se situe au 21ème siècle mais dont le cœur plonge ses racines dans le mystère du trésor des Templiers. A travers ce roman, vous suivrez la quête à travers plusieurs pays de personnages riches et attachants, un régal pour les novices comme pour les initiés. Ce matin, j’ai rencontré Annik dans sa maison de Virginal. Hennuyère de racines, elle est brabançonne de cœur depuis plus de 20 ans. Née d’une mère violoniste et d’un père « littéraire », elle baigne depuis l’enfance dans le milieu artistique. Comme elle le dit elle-même : « Mes parents étaient très ouverts d’esprit, ils m’ont offert un cadre dans lequel je pouvais expérimenter ma soif de découverte et de rencontre … Ma famille m’a permis d’être moi ». D’une enfance sauvageonne, à courir dans les champs, fureter dans les grottes, elle garde un appétit de vivre tout ce qui la fait vibrer. Après des études de journalisme, une carrière dans le mannequinat, dans le théâtre, le chant, la sculpture, elle se lance avec bonheur dans l’écriture. « Ce qui mène ma vie, c’est l’émotion, les rencontres, je ne peux vivre que dans ce qui me fait vibrer, la monotonie tue la créativité, dans la vie, il faut faire des choix et je fais ceux qui me nourrissent ». Lorsque je lui demande comment elle en est arrivée à l’écriture de ce roman, elle plonge dans son passé : « Ma grand-mère écrivait, elle a transmis cette passion à mon père qui, lui-même, me l’a ensuite transmise. Lorsque j’écris, je le fais à ma façon, sans chercher un sujet « porteur », sans chercher à ressembler à quelqu’un d’autre ». Comme elle le dit, toute sa vie est histoire de rencontre et de transmission. L’histoire de ce livre, c’est d’abord l’histoire d’une rencontre, celle de Rudy Cambier, philologue et spécialiste du moyen âge. « Je l’ai rencontré dans le cadre d’un article sur ses travaux. De là, est née une belle amitié, c’est lui qui m’a accompagnée dans ce travail de longue haleine. » Deux années seront nécessaires pour arriver au point final de cet ouvrage. Deux années consacrées à faire des recherches auprès de spécialistes pour « avoir une base solide », à cheminer sur son propre chemin, à rencontrer d’autres personnes, à laisser vivre et grandir les personnages de son histoire. « J’ai choisi la forme du roman pour rendre les travaux de Rudy accessibles au plus grand nombre. La lecture de ce roman je l’ai voulue construite sur trois niveaux : une lecture accessible au quidam, basée sur un roman d’aventures, un deuxième degré avec des références pour ceux qui s’intéressent à l’histoire des templiers et un troisième dont les références ne sont accessibles qu’aux initiés. » C’est sans doute ce qui rend cet ouvrage passionnant, on sent que derrière les mots, il y a de la chair, une véritable recherche et une envie de partager. Et après le point final … ? « J’ai voulu laisser la fin ouverte sur une possibilité de suite … on verra J » La presse en parle Paru dans le Petit Tram Juin-Juillet 2011 PORTRAIT D’AUTEUR : Annik Couppez Véronèse d’Orléac – « la gardienne de la 9e porte", paru chez Edilivre 2012 « La gardienne de la 9e porte » est un roman d’aventure historique dont l’intrigue se situe au 21ème siècle mais dont le cœur plonge ses racines dans le mystère du trésor des Templiers. A travers ce roman, vous suivrez la quête à travers plusieurs pays de personnages riches et attachants, un régal pour les novices comme pour les initiés. Ce matin, j’ai rencontré Annik dans sa maison de Virginal. Hennuyère de racines, elle est brabançonne de cœur depuis plus de 20 ans. Née d’une mère violoniste et d’un père « littéraire », elle baigne depuis l’enfance dans le milieu artistique. Comme elle le dit elle-même : « Mes parents étaient très ouverts d’esprit, ils m’ont offert un cadre dans lequel je pouvais expérimenter ma soif de découverte et de rencontre … Ma famille m’a permis d’être moi ». D’une enfance sauvageonne, à courir dans les champs, fureter dans les grottes, elle garde un appétit de vivre tout ce qui la fait vibrer. Après des études de journalisme, une carrière dans le mannequinat, dans le théâtre, le chant, la sculpture, elle se lance avec bonheur dans l’écriture. « Ce qui mène ma vie, c’est l’émotion, les rencontres, je ne peux vivre que dans ce qui me fait vibrer, la monotonie tue la créativité, dans la vie, il faut faire des choix et je fais ceux qui me nourrissent ». Lorsque je lui demande comment elle en est arrivée à l’écriture de ce roman, elle plonge dans son passé : « Ma grand-mère écrivait, elle a transmis cette passion à mon père qui, lui-même, me l’a ensuite transmise. Lorsque j’écris, je le fais à ma façon, sans chercher un sujet « porteur », sans chercher à ressembler à quelqu’un d’autre ». Comme elle le dit, toute sa vie est histoire de rencontre et de transmission. L’histoire de ce livre, c’est d’abord l’histoire d’une rencontre, celle de Rudy Cambier, philologue et spécialiste du moyen âge. « Je l’ai rencontré dans le cadre d’un article sur ses travaux. De là, est née une belle amitié, c’est lui qui m’a accompagnée dans ce travail de longue haleine. » Deux années seront nécessaires pour arriver au point final de cet ouvrage. Deux années consacrées à faire des recherches auprès de spécialistes pour « avoir une base solide », à cheminer sur son propre chemin, à rencontrer d’autres personnes, à laisser vivre et grandir les personnages de son histoire. « J’ai choisi la forme du roman pour rendre les travaux de Rudy accessibles au plus grand nombre. La lecture de ce roman je l’ai voulue construite sur trois niveaux : une lecture accessible au quidam, basée sur un roman d’aventures, un deuxième degré avec des références pour ceux qui s’intéressent à l’histoire des templiers et un troisième dont les références ne sont accessibles qu’aux initiés. » C’est sans doute ce qui rend cet ouvrage passionnant, on sent que derrière les mots, il y a de la chair, une véritable recherche et une envie de partager. Et après le point final … ? « J’ai voulu laisser la fin ouverte sur une possibilité de suite … on verra J » La presse en parle Paru dans le Petit Tram Juin-Juillet 2011 PORTRAIT D’AUTEUR : Annik Couppez Véronèse d’Orléac – « la gardienne de la 9e porte", paru chez Edilivre 2012 « La gardienne de la 9e porte » est un roman d’aventure historique dont l’intrigue se situe au 21ème siècle mais dont le cœur plonge ses racines dans le mystère du trésor des Templiers. A travers ce roman, vous suivrez la quête à travers plusieurs pays de personnages riches et attachants, un régal pour les novices comme pour les initiés. Ce matin, j’ai rencontré Annik dans sa maison de Virginal. Hennuyère de racines, elle est brabançonne de cœur depuis plus de 20 ans. Née d’une mère violoniste et d’un père « littéraire », elle baigne depuis l’enfance dans le milieu artistique. Comme elle le dit elle-même : « Mes parents étaient très ouverts d’esprit, ils m’ont offert un cadre dans lequel je pouvais expérimenter ma soif de découverte et de rencontre … Ma famille m’a permis d’être moi ». D’une enfance sauvageonne, à courir dans les champs, fureter dans les grottes, elle garde un appétit de vivre tout ce qui la fait vibrer. Après des études de journalisme, une carrière dans le mannequinat, dans le théâtre, le chant, la sculpture, elle se lance avec bonheur dans l’écriture. « Ce qui mène ma vie, c’est l’émotion, les rencontres, je ne peux vivre que dans ce qui me fait vibrer, la monotonie tue la créativité, dans la vie, il faut faire des choix et je fais ceux qui me nourrissent ». Lorsque je lui demande comment elle en est arrivée à l’écriture de ce roman, elle plonge dans son passé : « Ma grand-mère écrivait, elle a transmis cette passion à mon père qui, lui-même, me l’a ensuite transmise. Lorsque j’écris, je le fais à ma façon, sans chercher un sujet « porteur », sans chercher à ressembler à quelqu’un d’autre ». Comme elle le dit, toute sa vie est histoire de rencontre et de transmission. L’histoire de ce livre, c’est d’abord l’histoire d’une rencontre, celle de Rudy Cambier, philologue et spécialiste du moyen âge. « Je l’ai rencontré dans le cadre d’un article sur ses travaux. De là, est née une belle amitié, c’est lui qui m’a accompagnée dans ce travail de longue haleine. » Deux années seront nécessaires pour arriver au point final de cet ouvrage. Deux années consacrées à faire des recherches auprès de spécialistes pour « avoir une base solide », à cheminer sur son propre chemin, à rencontrer d’autres personnes, à laisser vivre et grandir les personnages de son histoire. « J’ai choisi la forme du roman pour rendre les travaux de Rudy accessibles au plus grand nombre. La lecture de ce roman je l’ai voulue construite sur trois niveaux : une lecture accessible au quidam, basée sur un roman d’aventures, un deuxième degré avec des références pour ceux qui s’intéressent à l’histoire des templiers et un troisième dont les références ne sont accessibles qu’aux initiés. » C’est sans doute ce qui rend cet ouvrage passionnant, on sent que derrière les mots, il y a de la chair, une véritable recherche et une envie de partager. Et après le point final … ? « J’ai voulu laisser la fin ouverte sur une possibilité de suite … on verra J » La presse en parle Paru dans le Petit Tram Juin-Juillet 2011 PORTRAIT D’AUTEUR : Annik Couppez Véronèse d’Orléac – « la gardienne de la 9e porte", paru chez Edilivre 2012 « La gardienne de la 9e porte » est un roman d’aventure historique dont l’intrigue se situe au 21ème siècle mais dont le cœur plonge ses racines dans le mystère du trésor des Templiers. A travers ce roman, vous suivrez la quête à travers plusieurs pays de personnages riches et attachants, un régal pour les novices comme pour les initiés. Ce matin, j’ai rencontré Annik dans sa maison de Virginal. Hennuyère de racines, elle est brabançonne de cœur depuis plus de 20 ans. Née d’une mère violoniste et d’un père « littéraire », elle baigne depuis l’enfance dans le milieu artistique. Comme elle le dit elle-même : « Mes parents étaient très ouverts d’esprit, ils m’ont offert un cadre dans lequel je pouvais expérimenter ma soif de découverte et de rencontre … Ma famille m’a permis d’être moi ». D’une enfance sauvageonne, à courir dans les champs, fureter dans les grottes, elle garde un appétit de vivre tout ce qui la fait vibrer. Après des études de journalisme, une carrière dans le mannequinat, dans le théâtre, le chant, la sculpture, elle se lance avec bonheur dans l’écriture. « Ce qui mène ma vie, c’est l’émotion, les rencontres, je ne peux vivre que dans ce qui me fait vibrer, la monotonie tue la créativité, dans la vie, il faut faire des choix et je fais ceux qui me nourrissent ». Lorsque je lui demande comment elle en est arrivée à l’écriture de ce roman, elle plonge dans son passé : « Ma grand-mère écrivait, elle a transmis cette passion à mon père qui, lui-même, me l’a ensuite transmise. Lorsque j’écris, je le fais à ma façon, sans chercher un sujet « porteur », sans chercher à ressembler à quelqu’un d’autre ». Comme elle le dit, toute sa vie est histoire de rencontre et de transmission. L’histoire de ce livre, c’est d’abord l’histoire d’une rencontre, celle de Rudy Cambier, philologue et spécialiste du moyen âge. « Je l’ai rencontré dans le cadre d’un article sur ses travaux. De là, est née une belle amitié, c’est lui qui m’a accompagnée dans ce travail de longue haleine. » Deux années seront nécessaires pour arriver au point final de cet ouvrage. Deux années consacrées à faire des recherches auprès de spécialistes pour « avoir une base solide », à cheminer sur son propre chemin, à rencontrer d’autres personnes, à laisser vivre et grandir les personnages de son histoire. « J’ai choisi la forme du roman pour rendre les travaux de Rudy accessibles au plus grand nombre. La lecture de ce roman je l’ai voulue construite sur trois niveaux : une lecture accessible au quidam, basée sur un roman d’aventures, un deuxième degré avec des références pour ceux qui s’intéressent à l’histoire des templiers et un troisième dont les références ne sont accessibles qu’aux initiés. » C’est sans doute ce qui rend cet ouvrage passionnant, on sent que derrière les mots, il y a de la chair, une véritable recherche et une envie de partager. Et après le point final … ? « J’ai voulu laisser la fin ouverte sur une possibilité de suite … on verra J »

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